Vincent Poillet, friches industrielles de la vallée du Gier, mars 2013.

Intrigué par les bâtiments de la vallée du Gier, c'est la curiosité et non l'acte transgressif qui le motive. Sur place, en quelques heures, il saisit de l'intérieur le monde de la rupture.

Il ne porte pas de regard patrimonial sur ces friches : ses œuvres expriment la mélancolie plus que la nostalgie.


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